Benoit de Mesmay

Pianiste de jazz, compositeur et arrangeur, Benoit de Mesmay s’est produit dans la plupart des grands festivals de jazz mondiaux (Montreux, Montréal, Vienne, Nice… ). Outre ses talents de soliste, il est également un accompagnateur recherché par des personnalités musicales exigeantes.
Il a notamment été le dernier directeur musical d’Yves Montand, pianiste de l’Orchestre National de Jazz avec lequel il a accompagné Gil Evans et John Scofield.
Il est actuellement directeur musical de l’orchestre d’Anne Ducros.

Parallèlement à sa carrière de musicien, Benoit de Mesmay a collaboré en tant que compositeur à de nombreux projets dans le domaine du cinéma et du théâtre. Il est notamment directeur musical du dernier spectacle du réalisateur Pierre Etaix actuellement en tournée en Europe.
www.concerts.fr/Biographie/benoit-de-mesmay

Jean-Luc « Oboman » Fillon

Art ‘n Jazz 2015
Oboman… le hautbois de toutes les musiques.
Neuf albums, une couleur orchestrale inédite, une musique chatoyante, toute de sensualité et de pulsation.
L’un des itinéraires artistiques les plus dépaysants et convaincants, fruit d’un subtil mélange d’originalité et de persévérance.
Musicien audacieux, il ose se frayer un chemin au cœur de tous les possibles, multipliant les rencontres, les essais et les recherches. La mobilité de son jeu, l’éventail de couleurs et de nuances qu’il déploie, la clarté de ses idées s’imposent : il exploite avec bonheur toute une gamme d’ornements et de mélismes.
Une certaine idée du jazz d’aujourd’hui, intense, inventive et fraîche ; c’est du jazz, mais pas seulement…
«La plénitude de sa sonorité confère à ses instruments –le hautbois et le cor anglais- une place dans le jazz à laquelle les anches doubles accèdent rarement.»
Franck Bergerot
«Autrefois, je considérais que chaque original était un malade et un anormal, mais à présent, je considère que l’état normal d’un homme est d’être un original.»
Anton Tchekhov

Matyas Szandai

Matyas Szandai sort diplômé de l’académie de musique Ferenc Liszt à Budapest en contrebasse classique. Il a joué et a enregistré avec de grands musiciens comme Archie Shepp, David Murray, Herbie Mann, Chico Freeman, Rosario Giuliani, Charlie Mariano, Kurt Rosenwinkel, Chris Potter, Flavio Boltro, Daniel Szabo…

Il s’est produit avec différents groupe en Amérique, en Inde et dans de nombreux pays d’Europe.

Ludovic Allainmat

né à Clamart en 1980, il a étudié le piano classique dès l’âge de 5 ans au conservatoire d’Issy-les-Moulineaux. A l’âge de 15 ans, il s’intéresse au jazz et étudie avec Ludovic De Preissac. A 17 ans il fait une master-class avec Michel Petrucciani qui le félicite pour le jeu de sa main gauche.

Il commence à se produire avec des petites formations. Il s’est produit dans de nombreux endroits : Jazz à Vienne, Jazz à Marciac, festival de jazz de Shangaï, Duc des Lombards, Sunset/Sunside… Il a côtoyé des musiciens tels que : Glenn Ferris, Nicolas Folmer, Jean-Loup Longnon, Frank Lacy, Baptiste Herbin, Raoul De Souza, Ichiro Onoé, François Laudet…

Ludovic fait parti de ces pianistes qui ont su allier la tradition avec la modernité, ses influences sont Oscar Peterson, Bill Evans, Herbie Hancock, Chick Coréa.

Andrea Michelutti

Andrea MICHELUTTI, d’origine Italienne est né en 1962, étudie la batterie en autodidacte puis s’installe à Paris en 1991. Depuis cette date, il effectue une riche et intense carrière internationale de batteur, compositeur et arrangeur.

Entre 1991 et 1995, on le retrouve auprès de leaders et musiciens tels que Roger GUERIN, Alain JEANMARIE, Michel GRAILLIER, Jeffery SMITH, Steve GROSSMAN, James SPAULDING, Chris POTTER, Rich PERRY, Jery BROWN, Jon GORDON, Ben SIDRAN, Bireli LAGRENE.

Puis entre 1995 et 2000, il participe aux enregistrements de Jean-Philippe BORDIER, Giovanni LICATA avec Flavio BOLTRO et Stefano DI BATTISTA et un album avec Michele HENDRICKS et Sylvain BEUF. Il fait partie des groupes de Michele HENDRICKS et Ricky FORD, ainsi que du quartet de SARA LAZARUS. Il collabore et accompagne Olivier HUTMAN, Jerry BERGONZI, Benny GOLSON, Franco AMBROSETTI, Eric WATSON, Sarah PETRONIO, Jimmy SLYDE; il part en tournée avec Art FARMER…

Entre 2000 et 2005, il part souvent en tournée un peu partout en Europe ainsi qu’à la Martinique, Porto Rico, USA et enregistre avec le Big Band Vintage («Thad»), 2 albums avec Jerry BERGONZI («Live Gonz!») et l’album «Give Me a Simple Life» avec SARA LAZARUS. Il joue avec Steve SWALLOW, Bill CARROTHERS, Jon HENDRICKS, Barry HARRIS… et part en tournée avec Randy BRECKER, Jamie DAVIS, Marc MURPHY, Joe MAGNARELLI, David SCHNITTER, Dick OATTS, Jim ROTONDI, Tim HAGANS, Bob MINTZER…

Depuis 2006 plusieurs nouvelles sorties d’album pour Andrea : «Weather Man» avec le Big Band Vintage, «Tenor of the Times», «Tenor Talk», «Simply Put» et en 2010 «Three For All», 2011 «Simply Put», 2012 «Shifting Gears» et en 2014 «Intersecting Lines» avec Jerry BERGONZI et Dick OATTS pour le label Savant, ainsi que plusieurs tournées qui l’ont conduit entre autre aux USA, Mexique, Iles Canaries et diverses localités européennes (entre autres en Suède et en Hongrie).

Depuis 2011 il fait partie du quartet «Shining Hours» du chanteur Marc THOMAS (dernier CD : «Pardon My French», en 2013).

D’autres collaborations, tournées et concerts en 2014 avec notamment Jim ROTONDI, Joe MAGNARELLI, Bruce WILLIAMSON, Scott HAMILTON.

facebook.com/andrea.michelutti.37
myspace.com/andreamichelutti

Geoffrey Secco

Geoffrey Secco (tenor sax)

Après des études musicales à Berklee (Boston), Geoffrey Secco multiplie les collaborations : Charles Aznavour (tournée 2012), Tony Allen (2012), Yannick Noah (arrangements cuivres, compo musique d’ouverture pour stade de France 2010), Patricia Kaas (tournée 2009-2010), Manu Dibango, Tito Puentes (tournées 2007-2012, disques, compo, arrangements big band), Pascal Obispo (tournée 2007), Beat Assaillant (2004-2006), TV live «The Voice» (2012), «Danse avec les stars» (saison 2012 & 2011), Téléthon (2011), «La nouvelle star» (2007)…

A 32 ans, il propose aujourd’hui une musique originale où jazz, soul, rock, hip- hop et électro s’entrecroisent dans un univers de méissage et d’improvisation.

Ichiro Onoe

WIND CHILD
Promise Land – Distribution Socadisc

Ichiro Onoe (batterie, compositions)
Geoffroy Secco (saxophone ténor)
Ludovic Allainmat (piano)
Matyas Szandai (contrebasse)

C’est avec soin que Ichiro Onoe, nourri de styles différents et d’influences harmoniques nombreuses de musiciens tels que John Coltrane, Charles Mingus, Wheather Report, Bob Mintzer (qu’il affectionne particulièrement) a choisi de s’entourer des trois musiciens talentueux qui forment son quartet. C’est le fruit de rencontres tout au long de son parcours musical en France et ils partagent la même esthétique que lui.
Il vit à Paris depuis 17 ans et se produit aux côtés de Bobby Few, Peter King, Ricky Ford, Frank Lacy, Chris Cheek, Bruno Angelini, Philippe le Baraillec, Ronnie Lynn Patterson, Olivier Ker Ourio, Andy Narell, Monolo Badrena… Ichiro Onoe aime accompagner les chanteurs et chanteuses tels que Mina Agossi, Joe Lee Wilson et dernièrement Jane Birkin sur sa tournée de 2011 à 2013. Sa grande sensibilité musicale et son jeu fin et mélodique sont particulièrement appréciés par ces artistes, l’essentiel pour lui consistant à apporter une authentique couleur rythmique à des projets musicaux d’univers différents.
Au Japon il a lontemps accompagné la chanteuse Yasuko Agawa, avec laquelle il enchaîna tournées et télévisions. Il se produit également aux côtés de personnalités comme Ron Carter, Nick Decaro, Norman Simmons et Makoto Ozone. Et c’est après une longue carrière de side-man dont il dit le plus grand bien, tant il a aimé ajouter sa pâte au jeu de ses compagnons, qu’il a ressenti l’envie de réaliser son propre projet discographique, Wind Child dont les morceaux sont à son image singuliers, variés et éclectiques, véhiculant les émotions et les couleurs de sa vie. Ce titre est d’ailleurs le premier morceau qu’il a composé au Japon et reflète les émotions de son enfance.

www.ichiroonoe.com

Ichiro Onoe
Né à Tokyo en 1957, Ichiro Onoe a étudié la batterie à Berklee College of Music à Boston. Au Japon il accompagne la chanteuse Yasuko Agawa, avec laquelle il enchaîne tournées et télévisions. Il se produit également aux côtés de personnalités comme Ron Carter, Nick Decaro, Norman Simmons et Makoto Ozone.
Il vit à présent à Paris, se produit aux côtés de Bobby Few, Peter King, Ricky Ford, Frank Lacy, Chris Cheek, Bruno Angelini, Philippe le Baraillec, Ronnie Lynn Patterson, Olivier Ker Ourio, Andy Narell, Manolo Badrena. Ichiro Onoe aime accompagner les chanteurs et chanteuses tels que Mina Agossi, Joe Lee Wilson et dernièrement Jane Birkin sur sa tournée 2011-2013.
Sa grande sensibilité musicale et son jeu fin et mélodique est particulièrement apprécié. L’essentiel pour lui consistant à apporter une authentique couleur rythmique à des projets musicaux d’univers différents.

Olivier Ker Ourio

(Photo : © P. Rouchon)

Etabli à Paris depuis 1992, après une enfance passée à l’île de la Réunion, Olivier Ker Ourio est aujourd’hui reconnu comme l’un des meilleurs harmonicistes chromatiques de jazz de la planète.

En plus d’un soliste très demandé, il est aussi un brillant compositeur et un meneur de projets. Dans les cinq albums enregistrés à ce jour sous son nom, ses compositions dévoilent un monde poétique habité de mélodies lyriques, d’harmonies inventives et de rythmes inhabituels. Expressive et chaleureuse, sa musique privilégie l’émotion et vient droit du coeur.

Olivier Ker Ourio est né à Paris en 1964, mais a passé son enfance à l’île de la Réunion, où ses ancêtres bretons s’établirent en 1728. A l’âge de huit ans, ses parents lui offrent un harmonica chromatique (dont joue son père en amateur). Au début un simple jouet, l’instrument deviendra très vite l’objet d’une passion à vie.

A 20 ans, Ker Ourio rentre en France pour étudier l’informatique à Grenoble. Heureusement, son harmonica l’accompagne et c’est là que l’histoire commence, avec la découverte du jazz et ses premiers concerts en amateur.

De retour à la Réunion, il étudie avec François Jeanneau au Conservatoire National de Région, forme son premier groupe Znort et se produit dans les clubs et festivals de l’île, tout en travaillant commme analyste-programmeur. En 1992, il fait la première partie de Dee Dee Bridgewater. Il décide alors de s’installer définitivement à Paris pour réaliser son rêve : se consacrer à plein temps à l’harmonica chromatique et au jazz.

Un an plus tard, une étape décisive: il remporte les prix de soliste et d’orchestre au Concours National de Jazz de la Défense avec le vibraphoniste David Patrois, Laurent Camuzat & Olivier Le Goas et se retrouve programmé au Paris Jazz Festival de Radio France. Suivent des concerts et passages télévisés. Il commence à jouer à travers l’Europe et part en tournée en Russie avec le groupe InterJazz.

En 1994, Ker Ourio rencontre Michel Pétrucciani et se produit en concert avec lui. Il rencontre aussi Aldo Romano, donne des concerts avec lui et est invité à participer à son album «Prosodie», avec Paolo Fresu, Stefano di Battista, Franco d’Andrea, et Furio di Castri. Il est aussi Lauréat de la Fondation de la Vocation, promotion Philippe Noiret.

En 1995, il part à New-York un an pour étudier la composition avec Franck Amsallem. Il multiplie les sessions et les rencontres et participe à l’album «Sound Tracks» de Joe Locke pour Fantasy records, sur lequel il côtoie Rufus Reid et Gene Jackson.

Central Park Nord (1997), enregistré à New-York avec David Kikoski, Ed Howard et Clarence Penn, marque les débuts de Ker Ourio en tant que compositeur et leader, combinant maîtrise technique et un rare sens lyrique. Selon les critiques : Ker Ourio est «le seul vrai successeur de Toots Thielemans».

De retour à Paris, Ker Ourio élargit sa palette musicale et travaille avec de nombreux musiciens, parmi lesquels Pierre de Bethmann, Gildas Boclé, Tony Rabeson, Denis Leloup et Pierrick Hardy. En 1999, il les réunit pour son deuxième album : «Oté l’ancêtre!», un hommage à ses lointains ancêtres Bretons dans lequel il mélange jazz, influences celtiques et maloya de la Réunion.

A Ride With the Wind (2001), développe les liens musicaux avec Pierre de Bethmann et Gildas Boclé, et accueille un nouveau venu, le batteur Franck Agulhon. Le quartet est complété par des invités, Toots Thielemans, Claudio Pontiggia, Jacques Pellen, Nelson Veras… Le groupe se produit en France, Belgique, Suisse, Europe de l’Est, la zone Océan Indien et le Vénézuela. L’album est décrit comme «une étape décisive dans l’évolution de ce musicien, dont la carrière est sur le point d’exploser». Selon Toots Thielemans lui-même, «…la musique d’Olivier est fraîche et ses mélodies restent dans l’oreille… J’ai le sentiment d’avoir participé à un projet important…».

En 2002, Ker Ourio organise une résidence artistique à la Réunion, dans l’idée de créer une nouvelle forme de musique : mélanger jazz et rythmes créoles du maloya. Il fait appel et rend hommage à «la voix» du maloya réunionnais, Danyel Waro. Avec deux autres percussionistes réunionnais et le quartet, il enregistre un quatrième album, «Sominnkér» (Chemin de Coeur) dans lequel il s’approprie et arrange le repertoire de Waro. Les onze titres présentent un rare mélange de maloya, de jazz et de poésie, de «world music» et de jazz.

Siroko (2005) marque un retour à une formation plus concentrée. L’album est enregistré avec seulement deux autres musiciens : le guitariste américain Ralph Towner, membre fondateur d’Oregon et le suisse Heiri Kaenzig, bassiste virtuose du Vienna Art Orchestra. Le son est chaud, lyrique, acoustique, dépouillé.

Selon la presse :
«La guitare, la contrebasse et l’harmonica se marient à la perfection atteignant souvent à un lyrisme rare. Il faut dire qu’entre les accords improbables de Towner et le chant mélancolique de l’harmonica, on a de quoi écouter et c’est bien souvent que l’on est emporté avec ravissement dans des paysages sonores aux couleurs inédites. On l’a dit mille fois, Olivier Ker Ourio est le digne successeur de Toots Thielemans auquel son jeu peut faire penser mais ce disque-ci, par la combinaison ingénieuse des sonorités, la modernité expressive des rythmes et l’originalité des mélodies, est le sien à lui tout seul. Indéniablement !»
P. Dulieu — Dragon Jazz Magazine, Belgique, Juin 2005

OVERSEA – Dreyfus Jazz 2010
avec Sylvain Luc, André Ceccarelli, Didier Lockwood, Louis Winsberg, Glenn Ferris, André Minvielle, Danyel Waro, Jean-Michel Pilc, Manuel Rocheman…

«Dans la famille des « soufflants », il est une confrérie très privilégiée, bénie des dieux. Ce sont les musiciens dont le souffle est naturellement coloré de musique. Dès qu’ils embouchent leur instrument, que ce soit un saxophone, une trompette, une flûte ou un harmonica, la musique est là, tout de suite, sans détour ni échappatoire. Comme une évidence qui plonge d’emblée l’auditeur en état d’apesanteur par la seule vérité du chant intérieur qu’elle impose. Ce supplément lyrique s’appelle le charme. Lester Young, Miles Davis, Chet Baker, Stan Getz et quelques autres ont su apprivoiser ce don qui permet de transformer le souffle en ce « quelque chose de bleu qui paraissait une aile » (Victor Hugo). Olivier Ker Ourio appartient sans nul doute à cette tribu d’élus.
Avec ce premier album signé pour Dreyfus Jazz, Olivier Ker Ourio nous invite à un nouveau voyage essentiel… ce doux nomade de l’harmonica a su s’entourer, selon les plages, de compagnons de route à son image. Tous sont de vrais aventuriers de la musique libre : les pianistes Manuel Rocheman et Jean-Michel Pilc, les guitaristes Sylvain Luc et Louis Winsberg, les chanteurs André Minvielle et Danyel Waro, le tromboniste Glenn Ferris, le joueur de kayamb Laurent Dalleau, sans oublier une rythmique de rêve avec André Ceccarelli et Diego Imbert… À chaque fois, charme et magie, swing et poésie sont au rendez-vous. C’est si rare !»
MAGIC TREE – Plus Loin Music – 2010
Avec Philip Catherine (guitares), Emmanuel Bex (orgue), André Ceccarelli (batterie)

«En matière d’harmonica chromatique, dans le monde du jazz, Toots Thielemans, l’homme qui a fait de cet instrument-jouet une voix essentielle du jazz et du cinéma (que l’on se rappelle Guet-apens, de Sam Peckinpah, en 1972) fait encore de l’ombre. Avec son septième disque depuis 1998, Magic Tree, Olivier Ker Ourio accède à sa pleine lumière à lui, harmonica en bouche pour y souffler comme on respire dans le calme d’une soirée d’été. La lumière est douce, le fils de Réunionnais est monté dans l’arbre magique de son enfance et regarde le crépuscule sur Saint-Denis. Il rêve. Et il a des compagnons idéaux pour cela : Emmanuel Bex, qui mêle avec émotion et chaleur les sons de son orgue Hammond à ceux, parfois très proches, de l’harmonica ; Philip Catherine, le vrai, le guitariste coulé dans la mélodie ; André Ceccarelli, qui assure discrètement la bonne tenue des rythmes.
C’est sur ces rythmes que se balancent les compositions, toutes originales, d’OKO, Olivier Ker Ourio : calypso, habanera, cachucha, d’autres encore que le chroniqueur de jazz peine à identifier, alors même qu’il s’ébroue, euphorique, dans les improvisation au lyrisme généreux. On comprend pourquoi tant de musiciens, de Michel Petrucciani à Ralph Towner, de Georges Moustaki à Michel Legrand, d’Aldo Romano à Rick Margitza, ont tenu à jouer avec lui : il a le souffle de l’âme.»
Michel Contat- Télérama n° 3175 – 20 novembre 2010
Aujourd’hui, Olivier Ker Ourio tourne principalement avec ses projets MAGIC TREE et OVERSEA, avec des invités comme Louis Winsberg, Jérôme Barde et Philip Catherine et Sylvain Luc…

Olivier Ker Ourio est également très sollicité comme soliste invite avec par exemple Sylvain Luc, Marcel Azzola, André Ceccarelli, Manuel Rocheman, Kevin Seddiki, Annie Ebrel….

Ker Ourio joue les harmonicas chromatiques Hohner et est un artiste Hohner France et Hohner Allemagne.

OKO a collaboré avec

Ralph Towner, Sylvain Luc, Michel Pétrucciani, Aldo Romano, Didier Lockwood, Philippe Catherine, Martial Solal, Toots Thielemans, Daniel Humair, Michel Legrand, Manuel Rocheman, Jean-Claude Vannier, Sylvain Luc, Paolo Fresu, Stefano di Battista, Rick Margitza, David Kikoski, Rufus Reid, Gene Jackson, Joe Locke, Jean-Michel Pilc, Diederik Wissels, Danyel Waro, Lo Kwa Kanza, Laurent Voulzy, Georges Moustaki, Lis Sorensen, Khalil Chahine, David Linx, Pierre de Bethmann, André Ceccarelli, Louis Winsberg, Jean-Marc Jafet, David Patrois, Jacques Pellen, Thierry Lang, Heiri Kaenzig, Denis Leloup, Barend Middelhoff, Pierrick Hardy, Benoît Sourisse, André Charlier, Jean-Jacques Milteau, Igor Butman, Andrei Kondakov, Frédéric Favarel, Claudio Pontiggia, Jean-Christophe Cholet, Zool Fleischer, Guillaume de Chassy, Franck Amsallem, Jean-Marie Ecay, Yvinek…

Il s’est produit en

France, Belgique, Hollande, Danemark, Allemagne, Irelande, Suisse, Espagne, Italie, Grèce, Turquie, Bulgarie, Serbie, Ukraine, Russie, Algérie, Togo, Bénin, Ghana, Bahrein, Etats-Unis, Vénézuela, Mexique, et les îles de la Réunion, Maurice, Madagascar, Guadeloupe, Corse et Mayotte.

www.kerourio.com

Laura Littardi

(Photo : © Aline Castejon)

Chanteuse et compositrice italienne, Laura LITTARDI s’est installée en France en 1987.
Très vite, le public et les musiciens parisiens ont pu apprécié sa musicalité, l’étendue de ses capacités vocales dans l’interprétation comme dans l’improvisation et le fait qu’elle se situe souvent avec beaucoup de conviction à la croisée d’horizons musicaux qui façonnent une identité exigeante et attachante : la pulsation et la virtuosité du jazz, les mélodies et syncopes brésiliennes mais aussi le dépouillement d’un chant tourné vers l’intimité et ses nuances expressives les plus poignantes.
Stéphane Carini (chroniqueur à Jazzman)

Elle a chanté et collaboré sur divers projets avec: Santos Chillemi, Giovanni Mirabassi, Olivier Louvel, Christophe Wallemme, Benoit De Mesmay, Linley Marthe, Chander Sardjoe, Olivier Ker-Ourio, Juan-José Mosalini, Joe Fonda, Alain Jean-Marie, Emmanuel Bex, Louis Moutin, Sylvain Beuf, Dedé Ceccarelli, Brice Kapel.

www.lauralittardi.com

Discographie

2016 : «GAINSBOURG CLAIR OBSCUR»
2015 : «PORTO SEGURO» avec Brice Kapel ‘MEA)
2013 : Guest sur le nouveau CD à paraître de Carine Bonnefoy & the Large Ensemble
2013 : Guest sur “THE ROAD TO YOU” hommage à Pat Metheny
2012 : «INNER DANCE» avec Carine Bonnefoy (piano), Mauro Gargano (c/basse),
Guillaume Dommartin et Fabrice Moreau (batterie), Francesco Bearzatti (sax et clarinette),
Laura Littardi (chant, compositions et arrangements).
(Great Winds / Musea)
2012 : Guest du pianiste René Courdacher sur le disque «JAZZ FOR YOU»
2011 : «BILIKI» Live avec Les Souissi Brothers
(Produit par «Les Sessions du Pietri et l’Institut Français de Rabat »)
2007 : Guest de Sylvain BEUF «MONDES PARALLELES» (Crystal)
2004 : «OCTOVOICE» , Sylvain BEUF (Naïve)
2002 : «SENZA PAURA», Laura LITTARDI TRIO avec Pierrick HARDY (guitare),
Nicolas KRASSIK (violon). Invités : Bruno ANGELINI (piano), Francis JAUVAIN (accordéon)
(La Concierge Production)
2001 : «COLORICOCOLA», Brice KAPEL (Universal Music)
1997 : «NEW YORK – PARIS – NICE», GROUPE VOCAL 6 ½ avec le trio
CECCARELLI (Dreyfuss Production)
Quelques extraits de presse

Laura Littardi n’a pas besoin de forcer son talent puisqu’elle en a beaucoup. Une authentique jazz-woman, elle échappe à toute référence évidente (pas si facile en 2012 !), preuve d’une forte personnalité.
(Frédéric Goaty – Jazzman)

Que voici une chanteuse qui renvoie à leurs fourneaux toutes celles qui ne font que se complaire dans le confort douillet du conventionnel.
(Michel Delorme – Culture Jazz)

Laura Littardi nous charme avec sa voix aussi à l’aise dans le « scat » que dans les registres plus intimes. Du talent, des idées et un peu de culot aussi ! Une Grande Chanteuse.
(Renaud Czarnes – Les Echos)

L’audace, son sens si naturel du groove (terrible, omniprésent, suave !), cette douceur, cette chaleur de voix et ce balancement si léger, cette pulse si élégante qui n’appartient qu’aux grands.
(Jean-Marc Gélin – D.N.J.)

Fraîcheur, versions décoiffantes, improvisation, voix expressive qui confirme le talent d’une chanteuse sincère et attachante. (Pierre de Chocqueuse – Jazzman)
Saveur particulière, une sensualité flottante sans esprit de fronde ou de dénaturation, tout simplement délicieuse. (Jacques Chesnel – Miscellanées Jazzistiques)
Une parfaite incarnation du talent, une conception musicale singulière et enthousiasmante. Sa voix portée par cette chaleur et cette allégresse propulse ce nouvel album, profondément grisant dans la catégorie de ceux sur lesquels il ne faut pas faire l’impasse. (Nicolas Vidal – BSCNEWS)
Remarquable technique de scat, fait swinguer avec sa voix au placement rythmique exceptionnel, de l’audace, de la beauté et du bonheur.
(Lionel Eskesazy – Jazzman – chronique du concert du 2 fév.2012)